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Les raisons qui expliquent l’absence de l’ADDI au sein de la CENI, selon Me Isabelle Améganvi
Publié le vendredi 26 septembre 2014  |  AfreePress


© L’Union par DR
Isabelle Améganvi du groupe parlementaire ADDI-ANC


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La présidente du groupe parlementaire ANC-ADDI, Me Isabelle Améganvi a tenu à expliquer jeudi sur la radio Victoire FM, les raisons qui ont conduit à l’absence de leur allier, l’Alliance des Démocrates pour un Développement Intégral (ADDI) au sein de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) lors des travaux de la 2ème séance de la 1ère session extraparlementaire de l’Assemblée.

Pour la 2ème vice-présidente de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), plusieurs raisons militent en faveur de ce fait, notamment la participation de la coalition Arc-en-ciel aux 5 places de l’opposition parlementaire, la cession d’une place à l’Union des Forces de Changement (UFC) malgré tout ce qui a été fait pour que ce parti ne soit pas considéré comme une formation de l’opposition, les intérêts communs qui lient l’ANC à l’ADDI et l’expérience des représentants de l’ANC au sein de la CENI pour la transparence de l’élection présidentielle prochaine.

« Sur les 8 représentants de l’opposition à la CENI, après calcul, l’ANC n’a que trois représentants alors qu’elle a 16 députés. Si c’est un autre parti autre que l’ANC, sur 8 places, il ne pourra pas vouloir avoir 3 places malgré les 16 députés », a-t-elle ajouté.

Sur la question de la « trahison, de la forfaiture et de l’amateurisme » dont l’ANC a fait l’objet selon les premiers responsables de l’ADDI dans l’élection des membres de la CENI, la responsable de l’ANC n’a pas voulu se prononcer.

« Lorsque que le docteur Kampatibe m’a appelé, je lui ai dit que je suis en deuil mais dans le courant de la semaine prochaine, je vais convoquer une réunion du groupe parlementaire. Il m’a dit qu’ils ne peuvent pas attendre jusqu’à la semaine prochaine », a-t-elle expliqué.

Selon elle, plusieurs concessions ont été faites par le parti de Jean-Pierre Fabre à son allier l’ADDI. Au plan de la présidence des commissions parlementaires, sur 9, 2 revenaient au groupe parlementaire ANC-ADDI. L’une est dirigée par l’ANC et l’autre par l’ADDI.

« Ce n’est pas tout, sur les 9 organisations interparlementaires, nous leur avons donné 2 alors qu’il y a des députés ANC qui ne font partie d’aucune organisation interparlementaire », a-t-elle ajouté tout en relevant que lors des élections législatives de juillet 2013, la liste de la région des savanes a été complètement confiée à ADDI mais au Grand Lomé, il y a deux représentants de ce parti.

Telli K.

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