À la tête de SOS racisme, cet engagé aux origines togolaises ne mâche pas ses mots quand il évoque le président Hollande... et ses homologues du continent.
La formule avait sonné comme une insulte. "La petite main", avait titré le quotidien français Libération. C’était en 2003. Dominique Sopo, 26 ans, venait de prendre le relais du médiatique Malek Boutih à la tête de SOS Racisme, et le quotidien français s’amusait de la quantité de questions qu’il avait fallu lui poser pour lui extirper ses notes - excellentes - à l’agrégation de sciences économiques et sociales.
Onze ans après, Dominique Sopo feint de ne pas en avoir pris ombrage, mais ne cherche pas plus d’une seconde le nom de la journaliste qui l’avait affublé de l’image pas très sexy "d’étudiant modèle en mocassins".... suite de l'article sur Jeune Afrique