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Rentrée scolaire 2014-2015 sur fond de grève des enseignants : Le ministre Maganawé se fait menaçant
Publié le dimanche 28 septembre 2014  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
Florent Maganawé, Ministre des Enseignements primaire et secondaire


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Alors que l’on s’attendait le voir aller à la modération dans ce bras de fer qui l’oppose aux : enseignants par rapport aux primes de rentrée et de bibliothèque, le ministre togolais de l’Enseignement Primaire et Secondaire, Florent Yawo Badjam Maganawé, opte plutôt pour l’affrontement.


Il brandit la menace des sanctions contre les enseignants qui observeront la grève de trois jours à laquelle a appelé l’USET (Union des syndicats de l’enseignement du Togo) et qui commence ce lundi 29 septembre, jour de la rentrée scolaire.

«Tous ceux qui respecteront le mot d’ordre de grève s’exposent aux conséquences de la grève. Nous sommes dans un Etat de droit et de liberté. Autant on peut faire ce qu’on veut mais il faut savoir que ce qu’on veut a quand même une organisation. Si quelqu’un se livre à la grève, il y aura des prélèvements de grève », c’est ce que déclarait hier samedi M. Maganawé. Le ministre croit savoir que des dispositions ont été déjà prises pour que les grévistes soient répertoriés dès la rentrée.

Si d’aucuns face à ce bras de fer, ont pensé qu’il faille y aller à un report pur et simple de la rentrée, le chargé du portefeuille de l’éducation ne l’entend pas de ces oreilles. Jusqu’à ce que nous mettions cet article en ligne, il a maintenu la rentrée scolaire 2014-2015 sur le 29 septembre prochain.

Dans cette ambiance où les parents d’élèves ne savent où se donner de la tête, l’on prépare tant bien que mal la rentrée les oreilles grandement tendues et collées au transistor, histoire d’entendre quelque son officiel informant d’un report ou encore d’une suspension de grève de la part des enseignants.

Une chose est certaine, si les choses restaient en l’état jusqu’à demain matin, on peut être sûr que l’on assistera à une rentrée scolaire artistiquement mouvementée et ce ne seront pas les menaces de prélèvement qui arrangeront le climat déjà électrique entre les parties.

P.S., Lomé

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