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Le Libéria souligne avoir besoin de la communauté internationale pour surmonter l’épidémie d’Ebola
Publié le mardi 30 septembre 2014  |  Service d'information de l'ONU


© AFP par DR
Le sommet de l`ONU sur le climat
Mardi 23 Septembre 2014. Nations Unies à New York. Les dirigeants du monde entier se réunissent pour un sommet de l`ONU sur le climat visant à donner un nouvel élan aux négociations internationales sur le réchauffement climatique.


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Le Ministre des affaires étrangères du Libéria, Augustine Kpehe Ngafuan, a indiqué lundi dans un discours devant l'Assemblée générale des Nations Unies, que l'épidémie de l'Ebola qui affecte son pays, a freiné la croissance économique et la mise en œuvre de pratiquement tous les piliers de l'Agenda pour la transformation du Libéria.

« Pour faire face à ce fléau, le gouvernement du Libéria a lancé diverses mesures, en décrétant notamment une situation d'urgence, en fermant les écoles et en lançant des campagnes de prévention afin de répondre aux problèmes causés par le déni et par les pratiques culturelles et traditionnelles qui créent un terreau fertile pour la propagation de la maladie », a expliqué M. Ngafuan en ajoutant que son pays consacre une part importante de ses maigres ressources à la lutte contre Ebola.

« En dépit de tous ces efforts et de ceux de nos partenaires, Ebola a devancé de loin tous nos efforts collectifs », a-t-il ajouté en rappelant que la maladie a fait plus de 1.800 morts et que près de 3.500 personnes dans le pays ont été infectées. En outre, les femmes, qui représente la majorité des soignantes, ont été frappées de manière disproportionnée par la maladie. Alors que l'épidémie s'étend, elle laisse derrière elle des orphelins traumatisés et le nombre de professionnels de la santé, qui était déjà limité, s'est encore réduit avec la mort de 89 des leurs.

M. Ngafuan a expliqué que la panique qui s'est emparée des travailleurs de santé lorsqu'ils ont vu leurs collègues mourir a provoqué la fermeture de nombreux centres de santé dans le pays. Qui plus est, le pays n'a plus de ressources adéquates, ni le temps ou le personnel pour faire face aux maladies quotidiennes comme le paludisme, la fièvre typhoïde et la rougeole. De plus en plus de femmes meurent en couche.
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