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Réclamation des réformes constitutionnelles et institutionnelles/Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson salue la sortie des prêtres et pasteurs des Eglises catholique, Evangélique Presbytérienne et Méthodiste
Publié le jeudi 2 octobre 2014  |  Le Télégramme du Togo


© Savoir News par DR
Mme Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, présidente et coordinateur général de ladite Coalition "Arc-en-ciel"


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Togo - Intervenant chez nos confrères de radio Victoire fm, la Secrétaire générale intérimaire de la CDPA (Convergence Patriotique des Peuples Africains), Brigitte Adjamagbo-Johnson a salué l’initiative des responsables de l’Eglise catholique, de l’Eglise Evangélique Presbytérienne et de l’Eglise Méthodiste du Togo pour une relance du processus des réformes constitutionnelles et institutionnelles.

Ces derniers, à travers un appel intitulé « Amour pour la patrie », tout en respectant les positions exprimées par les diverses formations politiques représentées ou non à l’Assemblée Nationale, ont appelé le chef de l’Etat, le Premier Ministre et son Gouvernement, le Président de l’Assemblée Nationale, tous les députés et tous les responsables de l’opposition togolaise, de prendre « une nouvelle initiative visant à réexaminer les questions introduites auprès de l’organe législatif de notre Pays en vue d’y trouver une issue plus positive ».

Le premier responsable de la CDPA trouve que « ces églises ont raison. Nous ne pouvons qu’apprécier, les remercier, les féliciter parce que c’est la voix morale, c’est l’autorité morale que nous devrions tous écouter. Nous disons qu’il nous faut ces réformes. Et nous nous battons pour ça depuis longtemps. Que l’Etat et le régime comprennent qu’on ne peut plus continuer dans cette voie ».

Elle regrette que les gouvernants se refusent à accorder au peuple ce qu’il veut. Et ce qu’il veut, selon elle, se sont les réformes et la bonne gouvernance. M. Adjamagbo-Johnson n’est pas du tout d’accord qu’après l’héritage politique de la Constitution de 1992, ce régime soit arrivé à « récupérer des acquis gagnés à travers cette constitution », obligeant tous les acteurs à être là aujourd’hui à parler encore de « limitation de mandat », de « mode de scrutin à deux tours ».

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