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Olivier Amah: «Ils ont voulu m’éliminer physiquement»
Publié le mercredi 8 octobre 2014  |  togo breaking news


© Autre presse
L’ex-commandant de gendarmerie, Olivier Amah Poko


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C’est depuis sa terre d’exil européenne que le président de l’Association des victimes de torture du Togo (ASVITTO) explique qu’il a dû quitter le Togo pour sauver sa peau suite à un complot d’élimination physique ourdi contre sa personne.

Alors qu’il est convoqué par le doyen des juges d’instructions « pour affaire le concernant », le commandant Olivier Amah qui avait honoré la première convocation a dû prendre la poudre d’escampette après qu’il ait reçu la 2e convocation du même juge.

La fuite de l’ex-chef des renseignements du Togo avait été incompréhensible pour plus d’un. Mais pour Olivier Amah, c’était le seul moyen pour lui de sauver sa vie. A travers son organisation ASVITTO, le commandant vient d’indiquer que sa décision de s’exiler fait suite à des confidences de sources très sures selon lesquelles son élimination physique en prison serait en vue si jamais il se présentait à la dernière convocation fallacieuse qui lui était adressée par le doyen des juges d’instruction.

Mais l’homme ne faiblit dans sa détermination. Il dit rester dans la droite ligne de la défense des libertés des citoyens et continuera sa lutte pour le respect scrupuleux des droits de l’Homme sur la terre de de ses aïeux.

L’ancien officier des Forces Armées Togolaises avait explique les nouvelles persécution contre sa personne s’expliquent par le fait qu’il est devenu très dérangeant surtout vers le nord dans la perspective de la prochaine élection présidentielle.

Emprisonné en 2009 dans l’affaire de tentative d’atteinte à la sûreté de l’Etat, commandant Olivier Amah Poko avait été disculpé à l’issue du procès de 2011 mais n’a jamais été rétablît dans ses droits. En Mai 2013, il a été emprisonné pour incitation de l’armée à la révolte et ne sera relâché que près de 10 mois après.



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