Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Art et Culture
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Art et Culture

Rififi dans le paysage littéraire togolais: Alexandre GOLI déclare que «La critique est facile, l’art difficile»
Publié le jeudi 16 octobre 2014  |  Corps diplomatic Togo




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


C’est avec un plaisir enchanteur qu’il se complaît à cisailler les œuvres des autres sous prétexte de pratiquer la critique. Etes-vous togolais, venez-vous de publier une œuvre, il bondit là-dessus. Ne vous attendez pas qu’il éclaire les zones d’ombre de votre œuvre pour le lecteur lambda, qu’il y procède à des analyses, à des critiques constructives, enfin qu’il révèle des richesses cachées de l’œuvre. Il aurait pu mitrailler Sainte-Beuve qui soutient qu’«Un critique est un homme qui sait lire et qui apprend à lire aux autres ».

Par cette alchimie dont lui seul détient le secret, Anas Atakora se déchaîne contre vous avec l’agressivité « crocodilienne ». Tel un apprenti chirurgien à son premier coup d’essai sur un cobaye, il procède de façon fulgurante à la dissection de l’œuvre pour ne laisser en fin d’opération qu’une dépouille. Personne dans le landerneau littéraire n’échappe à sa fougue, à ses injures, hormis peut-être son club d’amis.

Nous-mêmes ne pouvons pas prétendre que nous sommes immunisés contre son dard. Sauf que ses jérémiades ne nous empêchent pas d’avancer. Il y a longtemps qu’on attendait qu’il nous indique la voie de l’écriture, puisqu’il se présente comme le seul qui possède « le secret « de l’art scriptural. Pour sa première sortie véritable effectuée cette année même, il a choisi de nous servir la poésie à travers son recueil « Partir pour les mots ». Nous nous réservons d’en parler pour l’instant après sa lecture. Vivement qu’avec son « best sellers », notre bien-aimé Atakora nous décroche le prochain Prix Nobel ! Nous le fêterons tous ensemble.

Nous aurions également souhaité nous accorder le temps avant de parler de son second chef-œuvre. Cette seconde beaucoup plus ambitieuse et donc plus risquée, lui convient à priori tout à fait puisqu’il se prévaut du titre de critique. La revue littéraire « Reflets » porte bel et bien son sceau. Non seulement, son nom dans l’ours le fait figurer rédacteur en chef, mais aussi le 1/3 des articles porte sa signature le plus souvent sous le pseudonyme d’Atak (n’allez pas chercher si loin). En ce qui concerne le fond des articles, de grâce, laissons aux connaisseurs le soin de se prononcer dessus.

A propos de la forme toutefois, nous pensons qu’il y a une curieuse ressemblance avec la revue qui l’a précédé quelques semaines plus tôt à savoir » TOGO Littéraire et Artistique » s’agissant de la conception de la maquette que de l’organisation des rubriques. N’y voyez pas du plagiat ! Oh, nous n’avons jamais dit cela.


... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires