Dans une conférence de presse, Linda Thomas-Greenfield, sous-secrétaire d’Etat aux affaires africaines a rappelé aux Africains qui l’auraient volontairement oublié que la présidence d’un pays n’est pas un héritage. Il ne faut pas plus de deux mandats.
Respect de la constitution
Certains chefs d’Etats africains ont comme ambition de s’éterniser au pouvoir. Si d’autres y songent comme au Bénin, certains l’ont déjà réalisé et d’autres encore se sont engagés dans le processus. Lequel consiste à modifier la constitution afin de briguer un autre mandat, ouvrant la voie à un mandat indéterminé qui ne dit pas son nom.
Le ballet constitutionnel qui s’annonce au Burkina Faso n’est pas du goût de l’administration de Barack Obama. Pour Washington, les présidents Africains se doivent de respecter les constitutions qui leur ont permis d’accéder au pouvoir; "deux mandats et c’est fini".... suite de l'article sur Autre presse