Les combats politiques, s’ils n’aboutissent pas aux résultats escomptés pour porter les fruits du sacrifice et de la conviction ne rentrent jamais dans l’histoire et servent tout simplement de pilule amère constamment jetée dehors.
L’histoire de l’opposition togolaise qui se traduit par des dérives et des dissensions à la veille de l’élection présidentielle étonne les observateurs qui sans ambages concluent qu’il y a pire qu’un mal qui gangrène cette opposition. Ce jugement sévère est celui du journal L’Indépendant Express qui parle mercredi d’une opposition frappée par la malédiction.