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Le CAR rejette sa « responsabilité » dans l’échec des réformes
Publié le jeudi 30 octobre 2014  |  AfreePress


© Autre presse
Fulbert Sassou Attisso, l’initiateur de l’Appel des Patriotes


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Le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) « indexé » par Fulbert Sassouvi Attisso dans une émission radiophonique pour « n’avoir pas réalisé les réformes en 2006-2007 pendant que son président Me Yaovi Agboyibo était Premier ministre du gouvernement d’union nationale », a réagi ce mercredi par le biais d’un communiqué dont l’Agence Afreepress a reçu copie.

Cette « accusation a de quoi surprendre », écrit le CAR qui a son tour, rejette la responsabilité de l’échec sur les partis qui avaient participé au dialogue ayant abouti à la conclusion de l’Accord Politique Global (APG). Des partis qui selon le CAR, n’auraient pas tenu parole.

« Le CAR tient à rappeler que lors de la clôture des travaux du dialogue national sanctionné par l’APG, toutes les parties prenantes s’étaient engagées à rentrer dans un gouvernement d’union national de façon à réaliser par consensus les réformes constitutionnelles et institutionnelles », indique le communiqué paraphé par le Vice-Président du parti, Yendouba Kolani.

Une fois le Premier ministre nommé, explique le CAR, l’Union des Forces du Changement (UFC), « sous la pression de son aile dure », a remis en cause sa parole donnée en refusant de rentrer dans le gouvernement convenu. « C’est ainsi que le consensus prescrit par l’APG ne pouvait être recherché au sein du gouvernement de transition pour la réalisation des réformes », conclut le communiqué.

Ces « accusations » tombent à un moment où le CAR a « claqué » la porte du conclave du Collectif Sauvons le Togo (CST) et de la Coalition Arc-en-ciel. Ce parti pense que la recherche des réformes constitutionnelles et institutionnelles doit être la priorité de la classe politique de l’opposition. Une quête, selon le CAR qui devrait prendre le pas sur un éventuel choix du candidat unique de l’opposition pour la présidentielle de 2015. Un choix qui doit venir bien après, propose le parti des déshérités.

Mao R.

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