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Traque des vendeurs d’essence frelatée : EDH exige une solution définitive et efficace
Publié le jeudi 6 novembre 2014  |  L’Union


© aLome.com par Parfait
La vente du carburant frelaté refait surface dans la capitale togolaise.


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Une association de défense des droits et libertés des individus au Togo a interpellé le gouvernement togolais à trouver une solution définitive et efficace dans la traque des vendeurs d’essence frelatée. Il s’agit de l’’Association « Ensemble pour les droits de l’Homme » (EDH) dirigé par l’avocat Jil-Bénoît-Afangbedji.


La sortie de l’Edh fait suite aux évènements douloureux qui se sont produits dans les Lacs plus précisément à Messan Kondji, suite à la saisie d’essence frelatée ayant dégénéré en affrontement dont le bilan est très lourd : un mort et plus de cinq personnes blessées.

Pour EDH, « (…) au lieu de poursuivre quotidiennement des supposés vendeurs d’essence frelatée, le Gouvernement togolais doit plutôt chercher à trouver une solution définitive et efficace à ce problème quand on sait que sa persistance n’est que le fruit, entre autres, du manque d’emploi criard dans notre chère patrie et de l’absence de contrôle sérieux au niveau des frontières togolaises où transite ladite essence».


Dans sa déclaration, l’association présente ses condoléances aux familles éplorées avant de se demander : « A quand la fin des cas de violation des Droits de l’Homme au TOGO?»

Sur lesdits événements, le Gouvernement togolais dans un communiqué rendu public, a dit regretter ce décès et dit ouvrir une enquête pour situer les responsabilités afin d’appliquer la loi dans toute sa rigueur.

«Le Gouvernement togolais par le truchement du Ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, le Colonel YARK Damehane, dans un communiqué rendu public, ce décès regretté et regrettable fait suite à l’utilisation par un élément du Régiment d’Infanterie de Zowla, qui est censé protéger la population, de son arme à feu lors des affrontements en cause alors même qu’il suffisait, en pareille occurrence, de quelques tirs de sommation pour faire disperser la foule et ramener ainsi le calme », a précisé le communiqué du ministère de la sécurité et de la protection civile.

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