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La majorité silencieuse descend dans les rues les 21 et 28 novembre prochains
Publié le dimanche 16 novembre 2014  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Parfait
Geoges Aidam
Secrétaire Général de l’UNIR


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« Le Togo n’est le Burkina-Faso où Blaise Compaoré voulait réviser la constitution pour rester au pouvoir et donc les contextes politiques ne se ressemblent pas. Au Togo, à cause de la stupidité des opposants qui dure depuis 1990, Faure Gnassingbé n’a pas besoin de toucher à une seule virgule de la constitution pour rester au pouvoir ».


C’est le principal message qu’a livrer le Mouvement des Jeunes pour la popularisation de la bonne Gouvernance (MJPG) vendredi lors d’un point de presse qui veut bien descendre avec ses militants et sympathisants dans les rues les 21 et 28 novembres prochains pour soutenir les institutions de la République.

Le MJPG trouve que ceux qui demandent la révision « se croient suffisamment forts pour refuser à Faure Gnassingbé toute concession et donc « ignorent qu’une insurrection, que ce soit au Burkina ou ailleurs n’est pas décidée par une quelconque opposition ».

« Au nom de quoi cette opposition composée de particules et de groupuscules hétéroclites serait-elle fondée à obtenir aujourd’hui ce qu’elle n’a pas pu obtenir en quatre années de marches hebdomadaires ininterrompues ? », s’interroge Hubert Attouyo, porte parole du MJPG avant de dire que l’insurrection est « l’expression de la volonté populaire ».

A en croire ce dernier, nulle part en Afrique, une opposition n’a apporté le bonheur au peuple par son avènement au pouvoir et donc les togolais ne s’y méprennent point.

« La majorité silencieuse sait que la prise du pouvoir par une opposition ne changera rien à ses problèmes existentiels qui sont dus en grande partie à la conjoncture économique mondiale et aux contingents régionaux et sous-régionaux. C’est pourquoi, nous demandons à l’opposition d’accepter la non rétroactivité pour avancer dans les réformes », a-t-indiqué.

Le MJPG pense par ailleurs que « sans l’entêtement de l’opposition, les principes de limitation de mandats et le scrutins à deux tours seraient déjà devenus des réalités tangibles dans notre arsenal juridique ».


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