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Togo/Le MSF est pour les réformes mais dit non à la rétroactivité de la loi
Publié le mardi 18 novembre 2014  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Parfait
Concertation en vue d’un éventuel prochain dialogue intertogolais
Georges Aidam, secrétaire Général de l’UNIR


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Face aux actualités politiques qui défraient la chronique au Togo à moins d’un trimestre de la présidentielle de 2015, le Mouvement pour le Soutien au président Faure (MSF) vient de faire une sortie médiatique et clarifie sa position.


Devant un parterre de journalistes ce dimanche 16 novembre dans un hôtel de la place, le Mouvement n’a fait dans la dentelle face aux sujets nationaux brulants de l’heure notamment les réformes constitutionnelles et institutionnelles, le projet de loi du CAR et de l’ADDI, la composition du bureau de la CENI et le décret portant statut général de la fonction publique.

Pour le MSF, le Togo est aujourd’hui, un ETAT de droit, et qu’il faut respecter la loi que le peuple s’est librement donnée.

« Il n’y a pas lieu que les gens pensent qu’ils peuvent transposer le cas burkinabé au Togo. Dans tous les cas, nous disons que nul n’a le monopole de la rue aujourd’hui et que si l’opposition pense que c’est par la force et la violence qu’elle pourra parvenir à sa fin, qu’elle retienne qu’à chaque fois qu’elle sortira, « la Majorité Silencieuse » aussi sortira », a mentionné Paul KATANGA, Coordonateur Général du MSF.

Parlant du projet de loi que proposent le CAR et l’ADDI, le Mouvement pense que celui-ci n’a en aucun cas son droit de cité du moment où ce projet de loi loin d’être impersonnelle vise plutôt le président Faure. Elle est aussi, déplore le MSF non rétroactive et n’est pas impartiale.

Des faits qui obligent KATANGA à faire la part des choses en invitant les uns et les autres « à ne pas faire l’amalgame entre la situation au Burkina Faso et la Situation au Togo : Au Burkina Faso, le gouvernement avait voulu procéder à la modification de la constitution pour permettre à Blaise Compaoré de briguer encore un mandant ; alors qu’au Togo, le gouvernement protège la constitution en évitant sa modification par un groupe d’individus », a-t-il souligné.

Sur d’autres cieux il affirme qu’il faut un soutien de tous les politiques togolais au Bureau de la CENI qui est déjà en roue libre vers la présidentielle ; une élection que le MSF veut avant le reste des réformes et les élections locales.

Au demeurant la position du MSF est «Nous sommes partants pour les réformes institutionnelles et constitutionnelles mais non à la rétroactivité de la loi ».

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