Les marches et contre marches : Une occasion pour certains jeunes d’oublier un peu leur chômage

Politique

Publié le lundi 24 novembre 2014 | icilome

© aLome.com par Lakente Bankhead
Manifestation des pros UNIR dans les rues de Lomé pour soutenir Faure Gnassingbé dans la dynamique des réformes.
Ce 21 novembre 2014, UNIR a mobilisé ses principaux dignitaires dans les rues de la capitale togolaise, avant de chuter à la plage. A travers cette démarche, les pros UNIR comptaient défendre la sauvegarde des institutions de la République.

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Activités de la société civile

Togo - Les présidentielles de 2015 auront lieu à la fin du 1er trimestre 2015. Mais en attendant, c’est la rue qui draine de monde. Et c’est normal puisque tout cela participe à l’édification de la démocratie, de l’état de droit voulu par les uns et les autres.

Mais, ce qui est intéressant, c’est qu’à travers certaines marches comme celles d’Union pour la République (Unir) et de ses associations, il y a de la matière et de quoi permettre aux jeunes, de se frotter les mains pour oublier un tant soit peu, le chômage auquel ils sont confrontés.

Car, si pour faciliter à ses militants une marche d’une journée comme c’est le cas au 21 Novembre 2014, il faut rentrer avec 2000fcfa, ou 5000fcfa, c’est dire combien, avant la tenue des présidentielles, de milliers de jeunes, femmes, vieux, vieilles n’auront plus la peine à jongler leur quotidien.

Pour que ce souhait soit dans de longue durée, il va falloir que les jeunes multiplient prières et intersection auprès des pasteurs, des prêtres ne serait-ce que pour donner du tonus aux leaders de l’opposition surtout ceux du CAP 2015 à multiplier à loisirs leurs manifestations pour exiger les réformes.

Si dans une semaine, les deux camps peuvent appeler leurs militants, sympathisants à battre les pavés trois fois, tout calcul fait, donne à un jeune militant d’Unir ou association, à avoir et tricot en plus de 2000 x 3, ou 3000 x 3 voire 5000fcfa x 3.

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