Quelque 58 pays européens et africains se sont engagés au cours d'une réunion ministérielle à Rome à s'attaquer au problème de l'immigration de façon plus équilibrée, sans le restreindre à une simple question de police des frontières.
Cette 4ème conférence dans le cadre du "Processus de Rabat", instance de dialogue entre Europe et Méditerranée sur l'immigration, a été l'occasion d'un "sursaut par rapport à nos objectifs", s'est félicité le ministre sénégalais de l'Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo.
L'immigration est un problème tant pour le Nord que pour le Sud, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse.
Pour l'Afrique, il n'est "pas souhaitable de laisser partir l'essentiel de ses bras valides", et de l'autre côté, les pays européens "se retrouvent avec des personnes qu'ils ne peuvent pas prendre en compte", a-t-il expliqué.... suite de l'article sur Jeune Afrique