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Actes de violence et appel à une insurrection populaire : Le MJPG met en garde !
Publié le vendredi 28 novembre 2014  |  icilome




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Togo - Le Mouvement des Jeunes pour la Popularisation de la bonne gouvernance (MJPG) met en garde "ceux qui sous prétexte de défendre des libertés déjà largement acquises ou des réformes qui sont déjà en étude dans le cadre constitutionnel approprié, se livreraient à des actes de violence et d’appel à une insurrection populaire, qu’ils auront à répondre devant le tribunal des hommes et de l’histoire, de toutes les déconvenues qui en découleront".

Cette mise en garde du MJPG intervient une semaine après la tenue de deux manifestations parallèles, une pour défendre les institutions de la République, une autre par huit partis politiques pour exiger les réformes constitutionnelles et institutionnelles avant la tenue des présidentielles de 2015 dont aucune date n’est encore fixée.

Au cours d’un point de presse tenu le 28 novembre dernier, le MJPG a abordé le sujet concernant le projet soumis au parlement par l’opposition CAR-ADDI-ANC.

Pour le MJPG, "il n’y aucune raison qu’il en soit ainsi autrement. Parce que des réformes, tout le monde en veut, à condition qu’elles ne débouchent pas sur le vote d’une loi sélective".

Et d’ajouter "n’en déplaise à ceux qui se sont coalisés en espérant réussir un coup d’Etat constitutionnel, et dont certains prétendent être de la société civile, alors qu’ils appartiennent notoirement à des groupes politiques activistes, constitués pour la circonstance et enregistrés comme tels".

Pas de duel aujourd’hui dans les rues : La Majorité silencieuse absente

Pas de duel aujourd’hui dans la rue à Lomé entre les Organisations de défense des droits de l’Homme (ODDH) dont les militants ont battu les pavés ce vendredi 21 novembre 2014. L’Etat-major des associations de soutien au parti au pouvoir a décidé de surseoir à leur marche.

Pour le moment, l’on ne connaît pas les motifs de ce revirement, mais cela ne va pas tarder à se savoir. Car, les responsables de la majorité silencieuse prévoient une conférence de presse dans l’après-midi pour s’expliquer. Alors qu’il y a quelques jours, ces associations de soutien à Faure Gassingbé avaient juré qu’à chaque fois que l’opposition organisera une marche, elles appelleront également les partisans du pouvoir à descendre dans la rue.

Cette détermination a-t-elle pris un coup ? Difficile de le savoir.

A en croire certaines informations, c’est l’accord intervenu entre les responsables des ODDH et les ministres Gilbert Bawara et Yark Damehame sur l’itinéraire et le point de chute de la marche qui a amené la Majorité silencieuse à annuler sa manifestation.

Au début, les ODDH avaient choisi le Palais des Congrès comme point de chute de la marche. Ce que les deux ministres ont refusé.

Finalement, pour éviter le bras de fer, les organisateurs ont préféré chuter la marche sur le terrain des Cheminots communément appelé Akassimé.

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