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Retour sur la marche du 21 Novembre : Le MJPG dénonce l’insubordination de l’opposition
Publié le dimanche 30 novembre 2014  |  Togo portail


© aLome.com par Lakente Bankhead
Plusieurs ODDH exigent l`opẻrationnalisation des rẻformes constitutionnelles et institutionnelles avant la tenue du scrutin prẻsidentiel de 2015.
Lomẻ, ce 28 novembre 2014, sur les principales artères de la capitale togolaise. Plusieurs milliers de personnes ont rẻpondu à l`appel de diffẻrents défenseurs des droits de l`Homme. Sans les réformes, ces ODDH craignent le spectre de nouvelles violences ẻlectorales en 2015.


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Le Mouvement des Jeunes pour la Popularisation de la bonne Gouvernance (MJPG) a rencontré la presse ce 29 novembre à son siège à Lomé. L’objectif, faire le point sur la marche de l’opposition et de la mouvance présidentielle du 21 novembre dernier qui aurait pu se dérouler sans heurts à cause de « l’insubordination de l’opposition ».

«Les frères d’en face ont porté leur insubordination jusque devant l’autorité publique ce qui a été contraint à l’usage de la force ». Pour le MJPG, la dernière marche de l’opposition visait délibérément à porter atteinte aux lois républicaines et aux valeurs fondatrices de la démocratie. Ce que dénonce le mouvement des jeunes.


«L’opposition ayant décidé d’occuper les rues pour essayer de renverser un régime constitutionnel, il nous avait paru nécessaire de lui apporter la réplique, pour lui signifier d’une part, qu’une telle démarche était nuisible a la paix sociale et a la stabilité politique…. ».


Ce sont là les propos du président de la Défense Nationale de la Cause Nationale (DNCC), Hubert Atouyo, pour justifier la marche du Mouvement des Jeunes pour la Popularisation de la bonne Gouvernance (MJPG) du 21 novembre dernier.

Revenant sur la pomme de discorde opposition-autorités, sur le lieu de chute de la marche, M. Atouyo évoque le défie de l’autorité par l’opposition : « dans le souci … de préserver l’ordre social, l’autorité publique avait fait appel aux deux parties pour obtenir d’elles la modification du point de chute de la marche, le Palais des Congres. Quoi de plus normal ». Tel n’a pas été du goût de : « Nos frères d’en face qui avaient décidé de maintenir le Palais des Congres » pour dit-on « transposer a Lomé, des événements récents survenus à Ouagadougou », a déploré le patron de la Défense Nationale de la Cause Commune (DNCC). Pourtant « on a beau leur dire et répéter que le Togo n’est pas le Burkina-Faso », a-t-il insisté.

Sur la question des réformes, M. Atouyo parle du bras tendu de Faure Gnassingbe à l’opposition, ce qui s’est traduit par la rencontre du chef de l’Etat et Jean Pierre Fabre dans le seul but de : «l’écouter et faire baisser la tension politique ».

Dans la même optique : « une loi introduite a l’Assemblée Nationale soit examinée et voter dans le cadre constitutionnel. C’est dire que, si les dispositions proposées favorisent un large consensus, il n’y a aucune raison qu’il en soit autrement. Les reformes, tout le monde en veut, à condition qu’elles ne débouchent pas sur le vote d’une loi sélective », a-t-il conclu.

Car, pense t-il « sauver le Togo, c’est dépersonnaliser le débat politique et ouvrir son esprit a un débat national ». A bon entendeur….

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