La présidentielle doit théoriquement se tenir au premier trimestre 2015, mais le processus a déjà pris du retard.
Un retard qui pourrait impacter sur la date du scrutin, estime Sebabi Boutchou, l’un des responsables de la Céni (Commission électorale nationale indépendante).
La faute aux partis politiques de la majorité et de l’opposition qui n’ont pas encore transmis la liste de leurs représentants aux différentes commissaires paritaires (Listes et cartes, Céli).
En outre, la Céni attend des moyens financiers supplémentaires pour former les agents chargés de la révision des listes électorales et ceux qui siégeront au sein des commissions locales.