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Réformes constitutionnelles et institutionnelles au Togo : Une certaine société civile perturbe la paix sociale, selon le MJPG
Publié le vendredi 12 decembre 2014  |  icilome




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Togo - Le 28 novembre dernier, les organisations de défense des droits de l’homme (ODDH) étaient dans les rues pour exiger comme les partis réunis au sein du Combat pour l’Alternance Politique en 2015 (CAP 2015), les réformes constitutionnelles et institutionnelles. Ceci, avant la tenue des présidentielles de 2015.

Ce 12 décembre 2014, les ODDH sont de nouveau dans les rues pour les mêmes causes. Ces manifestations amènent le Mouvement des Jeunes pour la Popularisation de la Bonne Gouvernance (MJPG) à rompre le silence.

Le mouvement MJPG qui soutient le Président Faure Gnassingbé dans ses actions, a tenu un point de presse à son siège à Lomé.

Dans une déclaration liminaire sanctionnant la rencontre avec la presse, le MJPG exprime ses regrets et fait savoir que la paix sociale acquise est aujourd’hui menacée. "Le MJPG a le regret de vous faire constater que la paix sociale si chèrement acquise au Togo est plus que jamais menacée. Car, une certaine société dite civile a choisi d’avoir des accointances malsaines avec l’opposition, pour contourner les règles démocratiques, en espérant prendre le pouvoir par un coup d’Etat constitutionnel", peut-on lire dans la déclaration dont la rédaction d’icilome.com en a copie.

Pour le MJPG, non seulement des marches des ODDH freinent les activités quotidiennes et retardent l’atteinte des objectifs de développement du Togo, mais elles sont faites avec des menaces, des intimidations.

"Et comment pourrions-nous accepter de donner le pouvoir à des hommes dont la contribution à la construction du pays se limite à la paralysie de l’activité économique, à l’incitation à la désobéissance civile et à la destruction de nos infrastructures réalisées dans des conditions difficiles ?", s’interroge le MJPG dans la déclaration lue par Yves Linérissa Keyewa, le porte-parole.

C’est pourquoi, pour le MJPG, la question des réformes basées sur des calculs politiciens est complètement dépassée. "La question des réformes basées sur des calculs politiciens est pour nous, complètement dépassée, et si certains préfèrent perdent leur temps à se distraire et à se défouler dans les rues, ils n’auront que leurs yeux pour pleurer bientôt, parce que l’élection présidentielle aura bel et bien lieu à bonne date", indique la déclaration.

Le mouvement pour finir, exhorte ses militants à participer massivement à la révision de la liste électorale et à se tenir prêts en mars prochain, pour leur candidat.

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