Etrange affaire d’escroquerie internationale devenue une affaire politique. Nous n’allons plus revenir sur ce dossier d’escroquerie internationale sans tête ni queue et monté de toute pièce par les sécuricrates et les tortionnaires de la République, tout juste de nuire et d’écarter politiquement Pascal Bodjona, qui était dans un passé ressent l’homme de confiance, de main et l’homme à tout …faire de Faure Gnassingbé, chef de l’Etat.
Nu tété l’homme de Kouméa en 2010, l’homme de Pya ne serait pas encore au pouvoir aujourd’hui. Mais à l’époque le fils d’Antoine Bodjona pensait faire le bien pour son frère et ami.
Mais hélas ! Quelques années après le bienfaiteur et le faiseur du roi est devenu l’ennemi et l’homme à abattre pour le régime RPT/UNIR que ce dernier à servir avec loyauté et sans arrière pensée.
Depuis le 21 août 2014 jusqu’à ce jour, Pascal Bodjona est détenu à la prison civile de Tsévié, au désir et au bon vouloir de son frère et ami d’hier, Faure Gnassingbé, chef de l’Etat.
Pour une deuxième fois, Pascal Bodjona sera devant la Cour Suprême ce jeudi 18 décembre 2014 à 08h00.
Nous savons tous qu’au « royaume » des Gnassingbé, la justice est aux ordres et les institutions de la République aux services d’un homme et son clan.
Pour cette énième fois, il est important que la Cour Suprême puisse dire le droit, rien que le droit afin que l’ancien ministre de l’Administration territoriale retrouve tout simplement sa liberté.
Messieurs les membres de la Cour Suprême : Il faut savoir que “ Entre le faible et le fort c’est la liberté qui opprime et le droit qui protège“. (Lacordaire)
La Nouvelle