Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Elections au Togo, Bénin, Gabon, Côte d’Ivoire...: L’Onu, l’Ue et la Cedeao font de la diplomatie préventive
Publié le samedi 27 decembre 2014  |  l'inter




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Plusieurs pays africains vont organiser des élections en 2015. A quelques mois de ces échéances, le ton monte dangereusement dans la plupart de ces pays. Contrairement aux années passées, la communauté internationale ne veut plus laisser la situation exploser, avant de réagir.

Les années 2015 et 2016 seront celles des présidentielles dans une dizaine de pays africains. Il s’agit du Togo, du Bénin, de la Guinée, du Nigeria, du Gabon, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la RDC, du Rwanda, pour ne citer que ceux-là. Des tensions sont déjà perceptibles dans la plupart de ces pays. Les points de désaccord entre pouvoir et opposition sont pratiquement les mêmes. Ils ont pour noms, listes électorales contestées, commissions électorales noyautées par le pouvoir, retard dans l’établissement des cartes d’identité, mais surtout, tentatives des présidents sortant de réviser la Constitution pour briguer un autre mandat auquel ils n’ont pas droit.

Au Bénin, outre la question du report répété des élections locales, il y a surtout la suspicion qui pèse sur le chef de l’État, M. Thomas Boni Yayi, de vouloir briguer un troisième mandat. Au Togo voisin, c’est plutôt l’opposition qui lutte pour une révision de la Constitution, afin que le mandat présidentiel jusque-là illimité, soit limité à deux. En RDC, au Rwanda, au Gabon, les tenants actuels du pouvoir en sont tous à leur dernier mandat. Mais, leur volonté de briguer un troisième est un secret de Polichinelle. En Côte d’Ivoire, l’appel de l’ancien président, Henri Konan Bédié et leader du Pdci à soutenir le président Alassane Ouattara, provoque de vives tensions au sein du vieux parti. Au Fpi, le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, c’est également une guerre interne qui fait rage. Mais, cette formation politique a aussi des comptes à régler avec le pouvoir actuel qu’il accuse d’avoir envoyé son leader à la Cpi et de garder son épouse en prison.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires