Le refus de Faure Gnassingbé de faire les reformes avant la présidentielle serait-il symptomatique de son impopularité qui ne dit pas son nom?
Le président veut-il un deal qui lui garantisse la paix, la sécurité et la tranquillité après sa présidence?
Comment l'opposition, trop souvent timide, a laissé filer les nombreuses opportunités qui auraient pu lui permettre d'obtenir le retour à la constitution de 1992.
Et pourquoi doit-on plutôt parler de la loi de 1992 au lieu de reformes constitutionnelles?
Tant de questions passées au peigne fin dans un débat de haut niveau à l'émission « PARCOURS » sur la FM Liberté, la Radio de la Diaspora.
Les invités de Kodjo Epou: Professeur Kossivi Adjamagbo, messieurs Tino Brassier, Jonas Siliadin (France) et Pierre Adjété (Ottawa-Canada)