Les menaces de déstabilisation permanente que font peser les activités subversives de Boko Haram sur la sécurité des Etats d’Afrique de l’ouest et d’Afrique centrale commandent dorénavant une réaction concertée, collégiale, déterminante et pro-active des Etats d’Afrique contre ces islamistes, indique un communiqué de la Fondation Pax Africana publié samedi.
L’heure n’est plus aux communiqués et aux dénonciations diplomatiques, mais à l’action. Il faudra faire un choix résolu entre le califatisme, l’insurrection et la sauvegarde de la stabilité politique et économique, gage de tout développement. Et désormais, cette lutte doit concerner tous les pays d’Afrique, souligne le texte.
Une déclaration qui intervient alors que la Cédéao n’écarte plus la possibilité de créer une force militaire pour combattre les islamistes.
C’est ce qu’a indiqué vendredi le président ghanéen en marge d’une réunion de la Cédéao à laquelle prenait part le Faure Gnassingbé, le chef de l’Etat togolais.... suite de l'article sur Autre presse