Dans un climat politique tendu la Cour constitutionnelle doit néanmoins annoncer sans tarder la date du prochain scrutin présidentiel. On se dirigerait vers une élection en avril.
Le mandat de Faure Gnassingbé expirant début mai, il ne reste plus beaucoup de temps aux neuf juges de la Cour constitutionnelle (six sont choisis par l'Assemblée nationale, trois par le chef de l'État) pour fixer la date de la prochaine élection présidentielle.