Journée mondiale des zones humides : André Johnson attire l’attention sur la dégradation de ces zones

Société

Publié le lundi 2 fevrier 2015 | AfreePress

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Participation de Faure Gnassingbé et le ministre de l’Environnement au sommet historique sur le réchauffement climatique à l`ONU
Mardi 23 septembre 2014. Le Chef de l`Etat, Faure Gnassingbé et le ministre de l’Environnement , André Johnson ont participer au sommet historique sur le réchauffement climatique à l`ONU.

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Togo - La communauté internationale célèbre ce lundi 2 février, la journée mondiale des zones humides sous le thème : « les zones humides pour notre avenir », une journée initiée par l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour sensibiliser sur la dégradation de ces zones.

Dans un message prononcé dimanche en prélude à la célébration de cette journée, le ministre de l’Environnement et des ressources forestières, André Johnson a tenu à démontrer l’importance capitale que jouent les zones humides dans la vie de l’homme.

« Les zones humides sont le berceau de la diversité biologique et fournissent de l’alimentation en eau. Substrat des pêcheries et de l’agriculture, grâce au renouvellement des nappes phréatiques, elles jouent le rôle de rétention des matières nutritives par les plaines d’inondation et favorisent la promotion du tourisme et constituent l’une des voies pour le transport. Elles constituent en outre des ressources énergétiques diverses par excellence », a-t-il indiqué.

Le Togo, 56.600 km² de superficie, dispose de 2210 km² de zones humides. Il s’agit du bassin de l’Oti-Mandouri, du parc national Kéran dénommé actuellement parc Oti-Kéran, des zones humides du littoral du Togo, et les réserves de faunes de Togodo.

Zones de l’écosystème les plus menacées, 64% de ces ressources ont disparu depuis un siècle dans le monde par le drainage, la pollution et la surexploitation de leurs ressources.

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