Le gouvernement et la Banque mondiale (BM) ont lancé un projet de gestion intégré des catastrophes et des terres (PGICT) sur 4 ans. Le budget de 8,5 milliards de Fcfa est en partie financé par la BM.
Au terme de 2 ans d’exécution, le bilan est satisfaisant, a confié lundi Dahlia Lotayef qui dirigeait une mission de la Banque au Togo afin d’y réaliser une évaluation à mi-parcours. Du coup, le PGICT sera prorogé d’un an.
Ce projet a pour objectif de renforcer les capacités institutionnelles pour la gestion des risques d’inondations et de dégradation des sols dans les zones rurales et urbaines. Il ambitionne en outre de renforcer la gestion durable des terres dans les écopaysages ciblés et les zones soumises aux aléas climatiques.