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Comment et pourquoi les 4 délégués de UNIR ont été virés de la CENI
Publié le dimanche 15 fevrier 2015  |  Togo Breaking News


© aLome.com par Lakente Bankhead
Manifestation des pros UNIR dans les rues de Lomé pour soutenir Faure Gnassingbé dans la dynamique des réformes.
Ce 21 novembre 2014, UNIR a mobilisé ses principaux dignitaires dans les rues de la capitale togolaise, avant de chuter à la plage. A travers cette démarche, les pros UNIR comptaient défendre la sauvegarde des institutions de la République.


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Connaissez-vous les raisons qui pourraient être à l’origine de la révocation des délégués d’UNIR à la CENI ? Difficile de savoir puisque l'état-major du parti n'a voulu rien dire à propos.

Mais dès que l’information selon laquelle quatre membres d’Union pour la République ont démissionné de la CENI est tombée dans la matinée d’hier, plusieurs organes dont Togo Breaking News, ont commencé à fouiller pour connaitre les réels motifs de la démission de ces personnalités qui sont bien au-delà de l’argumentaire de manquements graves avancé. Aujourd’hui on en sait un peu plus.

Nos investigations révèlent qu'en dehors des accusations de manquements graves au niveau de ses membres du parti au pouvoir à la CENI, deux principales raisons sous-tendraient la révocation de Mokpokpo Dosseh, Bawoubadi Bakaï, Koffi Ayéfoumè Kékéh et de Bandifoh Ouro-Akondo.

D'abord, il est reproché à ces derniers d'être à l'origine des défaillances constatées au cours des opérations des révisions des listes électorales dans la zone I. Alors que les opérateurs de saisie affirment avoir envoyé depuis deux semaines les résultats du recensement. La bande à Taffa Tabiou déclare n’avoir rien reçu surtout ceux de la préfecture de Yoto. Et visiblement, les démissionnaires de l'UNIR en savent quelque chose.

De plus, ces désormais anciens délégués d’UNIR à la CENI sont accusés de ne pas avoir recueilli l’avis des hauts cadres du parti avant de donner leur accord pour la date du 21 avril comme jour de la tenue du scrutin présidentiel.

Aussitôt rappelés, ces messieurs et dames sont remplacés ce jour même par d’autres membres qui ont prêté serment samedi devant la cour constitutionnelle. C’est dire donc que l’UNIR n’est pas un long fleuve tranquille…avant la présidentielle de 2015.

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