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Le CAP 2015 condamne l’agression de Me Apévon et demande à la population de ne pas tomber dans le jeu des "adversaires"
Publié le mardi 24 fevrier 2015  |  AfreePress


© aLome.com par Lakente Bankhead
Nouvelle marche pour exiger les réformes: ODDH et partis politiques sous le sceau du CAP 2015 se donnent la main sur toute l`étendue du territoire togolais.
Lomé, le 13 janvier 2015, à Bè: des partisans des réformes ont transformé leur marche initiale dans les rues loméennes en sit-in, à cause du défaut de consensus entre les organisateurs et les autorités, sur le point de chute de la marche.


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Togo - Après avoir condamné l’agression dont a été victime Me Dodzi Apévon, le président national du Comité d’action pour le renouveau (CAR) le samedi 21 février dernier, le Combat pour l’alternance politique en 2015 (CAP 2015) a invité la population togolaise à ne pas faire le jeu des "adversaires".

Ce regroupement de certains partis politiques de l’opposition au sein duquel se trouve l’Alliance nationale pour le changement (ANC) dont les jeunes seraient, selon le CAR, les auteurs de cette agression, a rappelé à la population togolaise qu’ " en s’en prenant verbalement ou physiquement à des responsables politiques, elle tombe dans le piège de ceux qui ont peur de l’alternance démocratique qui s’annonce comme inéluctable et qui mettent tout en œuvre pour lui barrer la route".

"La population togolaise a certes le droit de demander des comptes aux partis politiques censés parler en leur nom mais elle doit privilégier exclusivement les cadres de débats politiques pour exprimer ses préoccupations, ses opinions, voire sa désapprobation sur les questions de l’heure", conclut le CAP 2015.

A titre de rappel, des jeunes se sont rués sur le premier responsable du CAR sorti d’une pharmacie à Lomé et ont voulu savoir les raisons pour lesquelles il n’accompagne pas les partis qui ont désigné Jean-Pierre Fabre, le président national de l’ANC comme candidat à la présidentielle de 2015 et pourquoi il prend à partie la communauté internationale qui, selon ces jeunes, soutient M. Fabre.

Des menaces et des injures ont accompagné les réponses que le responsable du CAR a essayé de leur donner.

Telli K.

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