Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Présidentielle 2015 : Des Togolais veulent “nettoyer” la CENI selon un sondage
Publié le vendredi 27 fevrier 2015  |  Africa rdv


© aLome.com par Parfait
Deuxième dissémination des résultats des données du round 6 de l`enquête Afrobaromètre par le Centre de recherche et de sondage d`opinion (CROP)
Lomé, le 25 février 2015, à l`hôtel EDA OBA. Diaspora togolaise, la CENI et son fonctionnement ainsi que les élections locales ont été au coeur de cette nouvelle session des travaux du CROP.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Plus que quelques semaines et les Togolais iront aux urnes pour la présidentielle. Un nouveau sondage publié le 25 Février 2015, souligne le manque de crédibilité des Togolais en la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

Selon le rapport Afrobaromètre, les Togolais soumis aux questionnements veulent voir la CENI nettoyée avec des hommes de Dieu. Ils sont 54% à indiquer que la présence des religieux dans l’institution en charge des élections, augmentera la confiance au processus électoral.

50% des Togolais pensent que dès que les Professeurs d’Université et les partenaires au développement participeront aux travaux de la CENI, cette confiance rompue, renaîtra.

Seuls deux Togolais sur dix font confiance à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), et ce résultat reste identique à celui issu de l’enquête de 2012.

La même enquête révèle que près de huit (8) Togolais sur 10 (79%) pensent que le gouvernement togolais devrait recenser tous les Togolais de la diaspora afin qu’ils puissent voter lors des élections nationales. Déjà, ils sont 77% à vouloir la tenue des élections locales. Pour ceux-ci, il est temps que les autorités locales, comme les maires, soient élues et non plus nommées comme c’est le cas aujourd’hui au Togo.

 Commentaires