Le ministre togolais de l’Environnement, André Johnson, participe depuis samedi à Sendai (Japon) à la 3e conférence onusienne sur la prévention des catastrophes.
Organisée à Sendai, ville du nord-est du Japon, la rencontre doit permettre d’adopter un nouveau cadre sur la prévention des risques naturels, considérée par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, comme « l’affaire de chacun ».
La conférence s’est ouverte alors qu’un cyclone d’une rare violence a ravagé dans la nuit une grande partie du Vanuatu.
La lutte pour la prévention des catastrophes est donc une priorité.
Selon le rapport onusien sur la réduction des risques (GAR15) rendu public le 4 mars, l’impact économique des catastrophes naturelles évoluerait entre 250 et 200 milliards de dollars (entre 238 et 190 milliards d’euros) par an.
Ce sont 42 millions d’années de vie qui ont été perdues chaque année entre 1980 et 2012 en raison des désastres naturels. Et la situation s’aggrave.
Les catastrophes surviennent plus fréquemment et font plus de dégâts, notamment dans des zones insulaires ou d’urbanisation rapide. Environ 70 pays seraient particulièrement exposés.
Selon le rapport onusien sur la réduction des risques (GAR15) rendu public le 4 mars, l’impact économique des catastrophes naturelles évoluerait entre 250 et 200 milliards de dollars (entre 238 et 190 milliards d’euros) par an.
Ce sont 42 millions d’années de vie qui ont été perdues chaque année entre 1980 et 2012 en raison des désastres naturels. Et la situation s’aggrave.
Les catastrophes surviennent plus fréquemment et font plus de dégâts, notamment dans des zones insulaires ou d’urbanisation rapide. Environ 70 pays seraient particulièrement exposés.... suite de l'article sur Autre presse