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La STT réclame la tête du ministre Maganawé
Publié le mardi 17 mars 2015  |  icilome


© aLome.com par Parfait
La base de la STT s`insurge contre les menaces de sanctions disciplinaires dites illégales à l`encontre de fonctionnaires grévistes.
Lomé, le 12 mars, au CENTRE COMMUNAUTAIRE DE TOKOIN. Après sa grève du zȇle, les fonctionnaires togolais rẻunis au sein de la STT dẻcident de lancer un nouveau mot d`ordre de grève sur 5 jours cette fois-ci.


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Togo - Malgré les menaces et les intimidations, la Synergie des travailleurs du Togo (STT) a tenu son assemblée générale hier au siège du Syndicat des praticiens hospitaliers du Togo (Synphot). Le ton a été particulièrement dur à cette réunion.

La principale information qu’on peut retenir à l’issue de cette rencontre est que la centrale conditionne toute participation à une quelconque négociation par la démission du ministre des Enseignements primaire et secondaire, Florent Maganawé.

On se rappelle la note de ce ministre qui demande au Directeur régionale de l’éducation (DRE) de Dapaong de lui envoyer les noms des grévistes. Une note qui met actuellement en ébullition cette ville.

Les travailleurs s’indignent des violences exercées sur leurs camarades à Dapaong le dimanche 15 avril dernier. La STT, quant à elle, dégage toute sa responsabilité des violences qui se sont produites hier dans cette ville et pointe du doigt le gouvernement.

« La STT n’est pas responsable de tout ce qui se passe dans le pays. Il appartient au gouvernement d’en assumer la responsabilité, puisque c’est lui qui refuse d’écouter les travailleurs et fait preuve de mauvaise foi », a indiqué l’un des responsables de la synergie.

La STT maintient sa grève de trois jours à compter d’aujourd’hui. Un autre sit-in sera organisé dans les services vendredi prochain.

I.K.

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