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Togo : Le gouvernement lie grogne sociale et élection présidentielle
Publié le jeudi 19 mars 2015  |  Kusasa news


© aLome.com par Parfait
AG extraordinaire de la STT qui a maintenu le cap du dẻbrayage de 72h dans la Fonction publique.
Lomẻ, le 2 mars 2015, Centre communautaire de Tokoin. La base de la STT demeure ferme dans ses revendications d`amẻlioration du quotidien des fonctionnaires togolais.


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Le gouvernement togolais, par le biais d’un communiqué rendu public mardi, semble accuser la Synergie des travailleurs du Togo (STT) d’être de connivence avec l’un des cinq candidats à l’élection présidentielle du 15 avril prochain.
« Dans la matinée du 12 mars 2015, en exécution des consignes de la STT de Tône, des élèves des lycées Nassablé et Dapaong ville 2, ainsi que certains enseignants et des élèves des établissements environnants, ont occupé et organisé des sit-in sur la nationale n°1. Outre le blocage de la circulation, cette manifestation a donné lieu à des débordements et des dérapages préoccupants.


En lieu et place des revendications touchant à l’amélioration de la vie scolaire et du système éducatif, les élèves se sont mis à scander leur soutien à l’un des candidats à l’élection présidentielle du 15 avril 2015 », note le communiqué.
D’après le gouvernement, les manifestants se sont attaqués à chaque fois que l’occasion le leur permet, aux biens publics, notamment la Direction régionale de l’éducation des savanes, les bureaux de la préfecture et l’hôtel de Dapaong et même à des personnes physiques.

Des incidents qu’il a condamnés, ainsi que les actes et toutes les initiatives de nature à porter atteinte à la quiétude et à la paix sociale, et il a indiqué qu’une enquête est ouverte pour situer les responsabilités.
Réunie en Assemblée générale le lundi dernier à Lomé, la coordination de la STT a, elle aussi condamné les actes de violence perpétrés sur ses membres. De son avis, la cause de ces violences est la lettre circulaire du ministre des Enseignements primaire et secondaire, Florent Badjama Maganawé. La démission de ce dernier vient, non seulement de s’ajouter aux revendications de la centrale, mais en prend la tête.

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