800 observateurs des droits de l’homme issus de la société civile – à ne pas confondre avec les observateurs électoraux – seront déployés dans le pays pendant la campagne et le jour du vote.
C’est le Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) qui est chargé de leur formation.
Ils devront veiller au respect des droits humains et des libertés fondamentales jusque dans les villages les plus reculés.
Pour le HCDH, le processus électoral ne doit pas être une occasion pour certains de bafouer la liberté d’expression, le droit de réunion et de manifestation pacifiques, la liberté de circulation, la liberté d’opinion, l’accès à une justice équitable, impartiale et indépendante’, explique Igé Olatokunbo, la représentante de l’Agence onusienne au Togo.
De son côté, Khardiata Lo Ndiaye, la responsable du Système des Nations Unies au Togo a rappelé l’exigence, la complexité et la difficulté de la mission