Sans blague? (Revue de presse autour de la 1ère semaine de campagne)

Politique

Publié le samedi 18 avril 2015 | Republicoftogo

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Le président togolais Faure Gnassingbé en visite officielle en France
Le président togolais Faure Gnassingbé avec le président François Hollande

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- 17/4/2015

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Campagne électorale de la présidentielle de 2015

La campagne électorale donne parfois l’occasion de bien rigoler en parcourant certains journaux. Vendredi c’est carrément un grand fou rire à la lecture de Liberté.

‘Faure Gnassingbé s’est précipitamment rendu à l’Elysée sur invitation de François Hollande. L’Elysée aurait fait venir Faure Gnassingbé pour lui faire comprendre la nécessité d’organiser une élection qui devrait souffrir d’excès de transparence, elle seule capable de lui conférer un caractère apaisé’. Pas une blague, ni un 1er avril en retard, cette information est bien publiée par le quotidien d’opposition.

L’Alternative ne va pas jusque là mais évoque ‘une virée à l’étranger mercredi dernier’.

Chassé croisé des candidats à l’intérieur du pays. Les meetings se déroulent à un rythme soutenu, note L’Union.

Comptes rendus de campagne détaillés à lire également dans Togo Réveil, Le Messager et Nouvelle Opinion.

Togo Presse revient sur la création d’un comité veille et alerte afin de prévenir tout incident pendant la campagne. ‘Cet organe va préserver le climat de paix, de sécurité et de sérénité et promouvoir la concertation et la recherche des solutions appropriées aux incidents et aux difficultés pouvant survenir au cours du processus électoral’, écrit le quotidien national.

L’Alternative, L’Union et Togo Presse, évoquent la nomination du lieutenant-colonel Akpovi Gbézondé Kossi à la tête de la FOSEP.

‘Sachant que la gendarmerie au Togo dépend du ministère de la Défense, l’arrivée d’un gendarme à la tête de cette unité fait glisser la chaîne de commandement du ministère de la sécurité vers le ministère de la défense dont le patron est Faure Gnassingbé, candidat d’UNIR’, explique L’Alternative.

Un remplacement logique opéré dans des conditions légales. Le commissaire divisionnaire étant malade, n’est plus en mesure de diriger ni son corps, ni la FOSEP, précise L’Union.

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