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Togo: L’opposition, un piège sans fin… (Analyse)
Publié le lundi 20 avril 2015  |  Africa rdv


© aLome.com par Lakente Bankhead
Nouvelle marche des ODDH et du CAP 2015 pour exiger les réformes constitutionnelles et institutionnelles avant la tenue de la présidentielle de 2015
Lomé, ce 12 décembre 2014. Sur les principales artères de la ville, des sympathisants, militants de l`Opposition ainsi que des défenseurs des Droits de l`Homme ont de nouveau réclamer les réformes avant la scrutin présidentiel de l`année prochaine.


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Vous avez dit opposition togolaise? Elle n’en est pas une, du moins, elle ne présente pas de vrais signes pour lui faire attribuer une telle désignation. 2015, les populations iront aux urnes, divisées, démobilisés, désabusés à cause d’une opposition qui depuis plus de 20 ans de lutte se cherche encore. Autopsie.

Le 25 Avril 2015, une frange de la population en âge de voter ira remplir son devoir civique. Et pour cause, elle a été démobilisée, des messages saccadés qui semblaient guerriers mais au fond poltrons sans synergie d’actions.

Ira, ira pas?

Pendant de longs mois, le discours de l’opposition dans la grande partie active se retrouvait au sein du Collectif Sauvons le Togo (CST) était celui d’obliger le pouvoir le pouvoir de Lomé à opérer des réformes. Au cas échéant pas d’élections. Ici encore le message n’était pas clair. Cela veut-il dire que Me Zeus Ajavon et sa clique vont obliger les partis membres du Collectif à boycotter le scrutin ou encore œuvrer à ce qu’il n’y ait pas d’élection? A cette réponse, chaque leader feignait de répondre.

Alors qu’ils adoptaient cette position, une partie de la population a déjà été emballée, leur accordant le bénéfice du doute. « Cette fois-ci, 2015 sera la bonne », disaient-ils en choeur. D’autres encore ne cessaient de dire au cours des multiples marches de protestation « Plus jamais, un Gnassingbé ne va conduire le Togo ».


Mais, la position guerrière va s’amenuiser pour laisser place à un appel au scrutin. Toutefois, cette partie de la population qui suivait l’appel ne s’est pas fait enrôler dans le processus électoral. Revirement, doit-on dire ou sagesse?

« Jacques, où es-tu? »
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