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Le CAR assimile le scrutin du 25 avril dernier résulte d’une prise d’otage
Publié le vendredi 15 mai 2015  |  Telegramme 228


© aLome.com par Dodo Abalo
Deuxième jour de campagne à Lomé, ambiance guillerette dans l`ensemble gâchée une pluie en après-midi.
Lomé, quartiers Tokoin & Agoè, le 11 avril 2015. Le 2ème jour de la campagne présidentielle a vu les états-majors d`UNIR et du CAP 2015 organiser meetings, porte-à-porte, et caravanes.


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Le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR), dans une déclaration intitulée « Il est temps de changer de méthode », hier mercredi 13 mai 2015, à son siège à Lomé, a informé sur son jugement sur le scrutin dernier et les leçons qu’il en a tirée pour l’avenir.
Selon le président du CAR, Paul Dodji Apévon, tout ce que les populations redoutaient, au cas où le scrutin viendrait à se tenir sans les réformes, a été confirmé à l’issue du processus électoral.

Il a indiqué qu’aucun des candidats à ce scrutin n’a pu recueillir 35% des voix du nombre des électeurs inscrits. Ainsi pour lui, ces deux (2) constats prouvent que si l’opposition s’était soudée pour obtenir les deux (2) tours, le scrutin aurait débouchée sur l’alternance.
A en croire le président, sur la base de données de terrain confirmées par les médias internationaux, le CAR a relevé qu’à peine un Togolais sur deux s’est déplacé pour le scrutin présidentiel d’avril dernier.


Paul Dodji Apévon a déclaré que la situation dramatique à laquelle les populations sont confrontées à la suite du scrutin raté du 25 avril dernier résulte de deux pratiques politiques pernicieuses.

« Il s’agit d’une part de la prise en otage du pays par le parti Etat-UNIR qui continue à confisquer les richesses nationales, les emplois publics, les marchés publics, les institutions et autres instruments de l’Etat pour conserver le pouvoir en empêchant l’alternance ; d’autre part du maintien d’un courant politique d’inspiration marxiste qui recourt à des manœuvres de blocage des réformes, au fanatisme, à l’intimidation par la violence, à l’exploitation des instincts et de l’ignorance des masses populaires pour leur servir de contre-vérités », a-t-il expliqué.
Il a déploré que les populations qui se sont prononcées à 85% pour les réformes n’ont pas été écoutées.


Par ailleurs, le CAR appelle les Togolais soucieux de l’avenir du Togo à se concerter pour faire procéder aux réformes en vue de sortir le pays de l’impasse « tant qu’on ne trouvera pas de solution aux réformes ont tournera en rond ».
Rachel D., Lomé (T228)

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