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Accord de paix au Mali : Faure à Bamako
Publié le vendredi 15 mai 2015  |  Republicoftogo


© aLome.com par Parfait
2ème sortie de FAURE GNASSINGBE à Lomé, dans le cadre de la campagne 2015.
Lomé, le 22 avril 2015. Quartier Hountigomé, Terrain de Tokoin CERFER. Tout près de Hedzranawoé, Faure Gnassingbé va à la rencontre de son électorat vivant dans la capitale du Togo.


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Le Mali accueille, ce vendredi, une cérémonie de signature d'accord de paix hautement protocolaire à Bamako. Parmi les protagonistes, on retrouve une vingtaine de chefs d'État et de gouvernement, dont le président du Togo Faure Gnassingbé. Mais il faut noter l'absence de la rébellion à dominante touareg qui réclame des discussions supplémentaires.

Juste avant de parapher la veille à Alger l'accord pour la paix et la réconciliation, au bout de deux mois et demi de pressions et d'atermoiements, la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA, rébellion) a prévenu qu'elle ne viendrait pas le signer vendredi à Bamako.

Le chef de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma) Mongi Hamdi a néanmoins estimé, dans un communiqué, qu'après ce paraphe, le ‘processus de paix entrera dans une phase déterminante avec la signature’ vendredi.

Le président zimbabwéen Robert Mugabe, également président en exercice de l'Union africaine (UA), son homologue guinéen Alpha Condé et la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie Michaëlle Jean, étaient déjà vendredi matin à Bamako.

La France est représentée la secrétaire d'État chargée du Développement Brigitte Girardin.

Le Togo a plusieurs centaines de soldats déployés au Mali dans le cadre de la Minusma.

L’accord de paix prévoit la création d'Assemblées régionales dotées de pouvoirs importants, élues au suffrage universel direct, mais, comme le souhaitait Bamako, ni autonomie ni fédéralisme et ne reconnaît l'« Azawad », nom par lequel les rebelles désignent le nord du Mali, que comme une« réalité humaine », sans contenu politique.

Le nord du Mali est tombé à la fin du premier trimestre 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda après la déroute de l'armée face à la rébellion, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée.

Les jihadistes ont été dispersés et partiellement chassés de cette zone par l'opération militaire internationale déclenchée en janvier 2013 et toujours en cours. Mais des zones entières échappent encore au contrôle du pouvoir central.

La cérémonie doit débuter à 15h TU.

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