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Présidentielle du 25 avril/Réclamation d’une revérification des PV: Impossible substitution des institutions de la République par l’OIF d’après Georges Aïdam
Publié le mardi 19 mai 2015  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
La délégation du parti UNIR á sa sortie de la Primature ce 13 mai


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La réponse de l’OIF réhabilitant le Comité d’accompagnement de la CENI, mis en place à la veille du scrutin, finira-t-elle par tomber sur la table de Jean-Pierre Fabre et ses collaborateurs qui ont à cet effet envoyé un courrier à l’institution internationale ? La question reste posée même si jusqu’à hier, et pour ce que l’on sait, aucune réponse n’a été donnée par l’institution aujourd’hui dirigée par Michäelle Jean.



Et même si le candidat malheureux à la présidentielle du 25 avril 2015, par cette voie s’attend à ce que l’on procéda à une « reverification des PV » pour proclamer des résultats qu’il qualifie de vrais, comme si ceux proclamés par la CENI et confirmés par la Cour constitutionnelle, après redressement des chiffres, le Premier vice-président de UNIR (Union pour la République), parti vainqueur du scrutin, Georges Aïdam, ne comprend pas « quels sont exactement les intentions de ces acteurs politiques, si c’est seulement pour créer les conditions de soulèvement populaires, l’opinion nationale et internationale sont là pour constater ». Il l’a fait savoir en fin de semaine dernière sur une télévision béninoise.


Poursuivant son analyse de situation, M. Aïdam trouve que « le cadre électoral togolais prévoit des dispositions pour régler le problème du contentieux électoral et M. Jean Pierre Fabre et les siens connaissent ces dispositions mais ils refusent de les utiliser. Et ils s’en prennent à l’OIF comme si elle devrait remplacer toutes les institutions nationales togolaises. Ce qui sort un peu de la logique que nous connaissons ».


Une certitude dans les propos de ce responsable de UNIR, c’est que « les résultats qui sont proclamés sont reconnus par tout le monde ». Une assertion qui pourrait trouver son justificatif dans l’absence de recours devant la Cour constitutionnelle par quelque candidat à la présidentielle.


Malgré cette absence de recours, il est à noter que Jean-Pierre Fabre et ses militants se sont lancés depuis quelques jours dans une drôle de contestation, réclamant une supposée victoire difficile à prouver avec 52 % des suffrages exprimés dans 26 CELI, annulant de son propre chef, les résultats de 16 autres CELI.


Pour rappel, les résultats officiels proclamés par la CENI et ensuite par la Cour Constitutionnelle donnent le président sortant Faure Gnassingbé gagnant avec 58,77% de voix. Alors que Jean-Pierre Fabre, le candidat du CAP 2015 à ce scrutin, a été classé deuxième et a été crédité de 35,19 %.


G.K / F.S (T228)

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