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Togo/Nicolas Berlanga-Martinez invite la presse Togolaise a relevé les erreurs de tous les bords
Publié le vendredi 22 mai 2015  |  Togo top news


© aLome.com par Parfait
Célébration de la Journée de l`Europe 2015 sur le sol togolais
Lomé, le 11 mai 2015. Célébration de la journée de l`Europe 2015 au Togo. Plusieurs officiels et hauts cadres du monde économique, diplomatique et politique représentés au Togo ont répondu à l`invitation de l`ambassadeur Nicolas Berlanga-Martinez.


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Le Chef de la Délégation de l’Union Européenne (UE) au Togo, Nicolas Berlanga-Martinez lors de la publication du rapport de l’observation de l’élection du 25 avril par la Concertation nationale de la société civile (Cnsc) a eu un petit mot à l’endroit de la presse Togolaise. Il a invité les uns et les autres indépendamment de leur ligne éditoriale à pouvoir révéler les erreurs de tous les acteurs politiques.


Pour Nicolas Berlanga-Martinez, en lisant la presse togolaise après les élections, il y a quelque chose qui a manqué. « Il y a peu d’analyses critiques vers soi-même », a-t-il noté.

Le diplomate estime que quand on « défend une ligne éditoriale », il faut regarder des erreurs en son camp et cette analyse critique, on le voit très peu dans la presse togolaise.

« C’est le signe de maturité qui manque dans la presse togolaise pour pouvoir accompagner la société togolaise dans ce qu’il a déjà montré», a-t-il indiqué.

Le diplomate a-t-il jeté un pavé dans la marre ? En tout cas le clivage est palpable dans la presse togolaise, on note un camp qui défend le pouvoir en place sans songer une fois critiquer les actions du gouvernement. De l’autre côté, certains journaux proches de l’opposition n’osent pas relever « les péchés mignons » surtout du chef de file de l’opposition.

Les leaders politiques ne font aussi rien pour arranger la situation. Il est difficile aux journaux appelés « mouvanciers » d’aller aux manifestations du combat pour une alternance politique. Le vendredi 9 avril les journalistes ont failli être « frappés’ » par des militants surchauffés après que Jean-Pierre Fabre ait dit que parmi les journalistes présents il y en a qui colportent des fausses informations sur lui. Par contre les manifestations du parti au pouvoir son ouvertes à toute la presse sans discrimination.

Il faut tout de même relever que les publicités des sociétés d’Etat parviennent difficilement aux journaux très critiques vis-à-vis du pouvoir.

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