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Des banques et entreprises promettent de mobiliser des milliards pour le climat
Publié le dimanche 24 mai 2015  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Parfait
Quelques dégâts de la grosse pluie du 25 mars dans la capitale togolaise.
Lomé, le 25 mars 2015. Quelques flaques d`eau engendrées au centre-ville par la pluie qui a balayé la cité en début de matinée.


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La semaine passée, le groupe Axa a annoncé qu’il va céder pour 500 millions d'euros de participations de sociétés actives dans le charbon et, simultanément, triper ses investissements dans les énergies vertes afin de constituer d’ici 2020 un portefeuille de trois milliards d'euros dans ce secteur. Dans le même temps, la Banque européenne d'investissement (BEI) s’est engagée à investir 50 milliards d'euros dans l’économie verte d’ici à 2018. Unilever, Total et Saint-Gobain ont lancé un appel international pour la fixation d'un prix mondial du carbone et l'élimination progressive des subventions aux combustibles fossiles. Même le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Naimi, a promis des investissements massifs dans le solaire.

Cette pluie d’engagements est tombée à l’occasion de la Journée mondiale de la finance pour le climat, organisée vendredi dernier à Paris en préparation de la conférence climat COP 21 qui aura lieu en décembre prochain. 400 investisseurs issus de 30 pays se sont déjà mobilisés et le flot continue de grossir. « Nous sommes prêts à collaborer avec les instances internationales, les pouvoirs publics, les organisations non gouvernementales, les entreprises et les particuliers afin de développer les solutions appropriées. » ont-ils assuré.

L’objectif de mobilisation de capitaux de COP 21 sera supérieur aux 100 milliards de dollars par an promis au sommet de Copenhague en 2009. Et il consistera surtout à dépasser le stade des promesses. « Les entreprises peuvent être une partie de la solution », a assuré Paul Polman, CEO d’Unilever.

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