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Troisième mandat anticonstitutionnel: l’UA relance le débat
Publié le dimanche 31 mai 2015  |  Courrier d'Afrique


© aLome.com par Parfait
11ème jour de campagne électorale. 1ère sortie du Président Faure Gnassingbé dans la capitale togolaise.
Lomé, le 21 avril 2015. Faure Gnassingbé, Président sortant, était en meeting sur le terrain du Lycée d`Agoè.


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Le président Alassane Ouattara ne compte pas « violer » la constitution ivoirienne après un possible deuxième mandat. Dans un entretien avec la présidente de l’Union Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma en marge de la 50e réunion annuelle de la Banque africaine de développement (BAD) tenue à Abidjan, le président Ivoirien a promis de quitter le pouvoir après deux mandats s’il est réélu en octobre prochain.

« Le président de la Côte d’Ivoire a déclaré au Dr Nkosazana Dlamini-Zuma qu’il se retirera après son second mandat comme président, s’il est élu », selon un communiqué de l’UA publié vendredi.

Grand favori de la présidentielle d’octobre en Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara est arrivé au pouvoir en avril 2011 après une crise meurtrière née du refus du chef de l’Etat sortant Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à l’élection de novembre 2010.

La problématique du troisième mandat anticonstitutionnel est un sujet brûlant sur le continent africain, où plusieurs chefs d’Etat, parfois au pouvoir depuis des décennies, ne comptent pas quitter aussi facilement.

Plusieurs autres chefs d’Etat africains, comme celui de République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila, du Congo Denis Sassou Nguesso, ou du Rwanda Paul Kagame sont soupçonnés de vouloir modifier la Constitution de leur pays afin de se maintenir au pouvoir.

Cette position l’UA selon les observateurs, peut être interprétée comme une volonté de l’organisation continentale de collecter les engagements des dirigeants africains à respecter les Constitutions de leurs pays et à ne pas chercher à les modifier pour se maintenir au pouvoir.

Si la constitution au Togo ne limite pas le mandat présidentiel, l’opposition appelle à l’usage des normes démocratique.
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