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L’UFC accuse l’ANC et le CAR d’avoir empêché la mise en œuvre des réformes
Publié le lundi 1 juin 2015  |  Togo Breaking News


© aLome.com par Parfait
Jean-Pierre FABRE, candidat du CAP 2015, présente son programme de société à l`approche de la présidentielle d`avril.
Lomé, le 8 avril 2015. Hôtel EDA OBA. Jean-Pierre FABRE et les autres leaders du CAP 2015 présentent leurs "ENGAGEMENTS" pour bâtir un autre Togo.


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L’Union des forces de changement (UFC) de Gilchrist Olympio continue de faire le bilan des cinq ans de l'Accord RPT-UFC signé le 26 mai 2010 à la suite de l'élection présidentielle de la même année. A l'époque, l'ancien parti radical de l’opposition et le Rassemblement du peuple togolais (RPT) devenu aujourd’hui l’Union pour la République (UNIR) avait promis de faire les réformes en seulement six mois. Mais rien depuis cinq ans.


Si l'accord a eu le mérite d’obtenir l’apaisement politique et le retour des investisseurs au Togo, le volet politique est un échec total. Mais les responsables de l'UFC s'en défendent et accusent les autres parties de l'opposition.

Intervenant dimanche sur Nana FM, Djagba Yempabou, responsable de la communication de l’UFC impute la responsabilité du le non aboutissement des réformes politiques aux contestataires des résultats de l’élection présidentielle de 2010 et du Comité d’action pour le renouveau (CAR). Selon M. Yempabou, ces deux entités de l'opposition auraient empêché le RPT et l’UFC de jouer sur leur majorité mécanique à l’Assemblée nationale pour faire passer les réformes politiques.

« Le 27 novembre 2010, le comité de suivi a souligné dans un communiqué les différents points de la Constitution qui devront être envoyés à l’Assemblée nationale pour être touchés et le RPT et l’UFC avaient la majorité qualifiée à l’Assemblée pour faire passer cette réforme quand les autres qui marchaient dans la rue et le CAR ont mis en garde les deux parties en accord contre toute tentative de modifier la Constitution sans eux, parce que selon eux, l’APG aurait dit de faire les réformes sur la base d’un consensus national», a-t-il expliqué Djagba Yempabou.
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