Togo/Les artistes danseurs n’auront plus des accidents musculaires et articulaires

Art et Culture

Publié le vendredi 3 juillet 2015 | Togo top news

© aLome.com par Parfait
Festival de danse ASSASSAN, édition numéro 1, les 29, 30 avril et 1er mai 2015 au Goethe-Institut de la capitale togolaise‏.
Lomé, les 29, 30 avril et 1er mai 2015. Goethe-Institut. Spectacles de danse, performances de rue, connférences-débats ont été au menu de cette grand-messe de la danse au Togo, imaginée par la Compagnie DZIDZO TOGO. "Assassan Festival" a été la plateforme représentant le travail chorégraphique des compagnies invitées dans cette première édition du Festival et dont l’objectif est la transmission de nouvelles approches scéniques et le développement de la scène de la danse togolaise.

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Activités artistiques et culturelles 2015

Une série de formations en danse ont été officiellement lancées à Lomé le mercredi 1er juillet par l’association culturelle « Sikota ». Placé sous le thème « l’analyse fonctionnelle du corps humain dans les mouvements dansés», ces formations qui se tiendront à Lomé et Kara permettront aux artistes danseurs d’éviter des accidents musculaires et articulaires lors des prestations.

L’activité s’inscrit dans le cadre du « Projet de promotion de la danse chorégraphique au Togo», financé par le Fonds d’aide à la culture.

La Promotrice du projet, Mme Essiomle ikéléhou, Directrice Artistique, Formatrice, Professeur de Zumba explique les motivations d’une telle initiative.

«Nous avons fait un constat amer, selon lequel les artistes danseurs togolais aiment leur métier mais malheureusement n’excellent pas. Nous avons cherché à savoir pourquoi et on a constaté que c’est à cause du manque de formations professionnelles. Et cet atelier justement veut répondre à ce besoin, celui de former les danseurs d’une manière professionnelle afin qu’ils soient compétitifs sur le plan national et international », a expliqué Mme Essiomle ikéléhou, avant d’exprimer ses attentes à la fin de la formation : « ce que nous attendons de cette formation, c’est que le danseur puisse connaître son corps, le maîtriser et savoir quel mouvement faire parce qu’il ne s’agit pas de danser pour danser, mais pour se maintenir en forme et en faire une profession ».

Selon cette dernière, la culture est un véritable levier de développement et l’esprit créatif togolais doit désormais composée des acteurs qualifiés. « C’est à cette condition que nous pouvons avancer vers la promotion de toutes les expressions culturelles aussi chères à la convention de l’Unesco de 2005 qu’à la Politique culturelle de notre pays ». ... suite de l'article sur Autre presse

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