Il y a deux ans environs, le gouvernement mettait un coup d’arrêt aux activités au groupe d’intérêt économique (GIE) ReDéMaRe. A la suite de cette interdiction, d’autres sociétés semblables subiront le même sort sans grand bruit à l’instar de Christex, Karus, Master cash…
Mais si pour ReDéMaRe, les adhérents sont bien bon mal bon entrés dans leurs fonds, il n’en est pas pour les autres sociétés.Réunis en association, les adhérents de Christex et Karus haussent le ton. Ils exigent le remboursement de leurs fonds.
Pour le président du collectif regroupant les adhérents des deux sociétés, M. kloutsè Kodjo « la grogne monte dans nos rangs. Que le gouvernement veut ou non nous écouter nous nous ferons écouter par tous les moyens à notre disposition ».Pour l’instant, ils privilégient la voix de la négociation avec les autorités.
Notons que le 15 mars dernier, à la suite de menace des adhérents de ces société de descendre dans les rues, le gouvernement a pris langue avec eux.Mais depuis lors le dossier n’a guère évolué et ceci pense qu’ils avaient été approchés à l’époque pour les calmer.Mais du côté du gouvernement on estime que les fonds sont bloqués au niveau des banques qui exigent le payement des prestations de remboursement avant tout décaissement de fonds.