Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Sport

Mondial Qatar 2022: Affaire de corruption, Blatter accuse Sarkozy
Publié le lundi 6 juillet 2015  |  Courrier d'Afrique


© Autre presse par DR
Joseph S. Blatter, président de la FIFA


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Sepp Blatter sort de son mutisme depuis l’annonce de sa démission fin mai dernier. Dans une interview publiée dans le journal Welt am Sonntag dimanche, le Suisse est revenu sur l’attribution à la Russie et au Qatar des Mondiaux 2018 et 2022.

Blatter ne passe pas par quatre chemins. Le président démissionnaire de la Fifa accuse l’ancien président français d’avoir pesé de tout son poids pour l’attrbution du Mondial 2022 au Qatar. Et il le dit clairement : ces choix ont fait l’objet de pressions politiques, notamment de la part de Nicolas Sarkozy, qui n’a jamais caché sa proximité avec le petit pays du Golfe.

«Avant l’attribution des Mondiaux au Qatar et en Russie il y a eu deux interventions politiques. MM. Sarkozy et Wulff ont essayé d’influencer leur délégué», explique-t-il, en référence au président français Nicolas Sarkozy et à celui de l’Allemagne Christian Wulff, en poste à l’époque.

La fédération allemande (DFB), notamment, «a été incitée (par M. Wulff) à voter pour le Qatar à cause d’intérêts économiques», selon Sepp Blatter, qui avait déjà à plusieurs reprises formulé ce type de critiques à l’encontre de la France et de l’Allemagne.

«Je ne dirai jamais qu’ils ont acheté le Mondial, c’était la poussée politique aussi bien en France qu’en Allemagne », avait-il expliqué en mai 2014 à la Radio-Télévision suisse. Il faisait référence à un déjeuner en novembre 2010 à l’Elysée entre le président français, des dirigeants qataris et Michel Platini, président de l’Uefa. Ce dernier a reconnu avoir voté pour le Qatar, tout en assumant son choix.

 Commentaires