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La sortie des Eperviers au Djibouti se prépare dans la confusion autour des contrats
Publié le samedi 25 juillet 2015  |  Togo breaking news


© aLome.com par Parfait
Guy Madjé Lorenzo, ministre de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique dans le Gouvernement Klassou I
Lomé, le 29 juin 2015. Parlement du Togo. Le Gouvernement Klassou I en scelle.


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A moins de deux (2) mois de la seconde journée des éliminatoires de la CAN 2017 au Gabon, le sélectionneur des Éperviers du Togo et tout son staff ne voient toujours pas leurs contrats paraphés. Panne de communication de la part de Guy Madjé Lorenzo, ministre de la communication en charge des sports et loisirs, sur le sujet depuis sa prise de fonction il y a quelques semaines. Que se passe-t-il exactement au ministère des sports et loisirs et qui retarde cette signature ?

Les Éperviers du Togo effectuent en septembre prochain une sortie au Djibouti, ceci dans le cadre de la seconde journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations. Une sortie que d'aucun prévoient improductive parce que le sélectionneur de l'équipe nationale togolaise de football et sa suite n'ont pas encore signé de contrats qui seraient - à temps normal - assortis d'une feuille de route.

L'ancien occupant de ce ministère, Angèle Amouzou-Dzaké, a indiqué que ce serait fait avec le retour au pays de Jean-Paul Abalo Dosseh, l'adjoint de Tom Saintfiet; car selon elle - pendant qu'elle était encore aux affaires - le départ pressant de l'adjoint pour la France justifiait le report du paraphe.

Mais depuis quelques jours déjà, Abalo Dosseh séjourne au pays sans voir son contrat paraphé sans même parler du « belge » qui n'est pas au Togo. Le nouveau occupant, Guy Lorenzo depuis sa prise de fonction, est muet telle une carpe sur le sujet.

Pourtant il y a eu dans les locaux de ce même ministère des sports et loisirs une passation de service. Serait-il indifférent à cet imbroglio ? Un silence qui laisse libre cours aux critiques et commentaires mêmes les plus acerbes. Pour certains, c'est la preuve de l’absence d’une politique sportive et pour d'autres encore c'est la faute au comité de normalisation à qui sont prêtés - à tort ou à raison - des intentions de ristournes.

Car les bruits dans les coulisses de ce ministère que les contrats auraient été déjà signés mais « en catimini ». Pourquoi en catimini ? Pourquoi ne pas parapher ces papiers devant la presse, au vu et au su de tous et de chacun ? A cela s'ajoute les salaires du mois derniers non payés idem pour les primes de contrats et de signature non versées.
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