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La jeunesse togolaise joue sa carte pour la COP 21
Publié le mardi 11 aout 2015  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Célébration de la Journée de l`Europe 2015 sur le sol togolais
Lomé, le 11 mai 2015. Célébration de la journée de l`Europe 2015 au Togo. Plusieurs officiels et hauts cadres du monde économique, diplomatique et politique représentés au Togo ont répondu à l`invitation de l`ambassadeur Nicolas Berlanga-Martinez.


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Moins de quatre (4) mois de la conférence sur le changement climatique (COP 21) qui se tiendra en décembre prochain à Paris en France, le parlement national de la jeunesse pour l’eau (PNJE) veut consacrer une grande place aux jeunes à travers des recommandations qui seront présentées aux différentes parties prenantes.

Cette rencontre, ouverte par le représentant de l’Union européenne (UE), Tété Tiassou, qui a réuni ce lundi à l’auditorium de l’Université de Lomé une quarantaine de jeunes venus de tout le Togo, fait suite à une enquête réalisée sur l’état des lieux de la place des jeunes dans les documents politiques et stratégiques sur la gouvernance de l’eau, la sécurité alimentaire et les
reporter de l’Agence de presse Afreepress.

Il sera question lors de cet atelier de montrer les résultats de cette étude ensuite faire des recommandations qui seront portées au niveau des politiques sur le plan national mais aussi seront consignées dans un livre blanc qui sera rédigé en novembre prochain à Paris lors de la conférence des jeunes (COY 21) puis transmis aux différentes parties prenantes lors des négociations.


«Nous sommes dans le processus préparatoire de la COP 21 mais avant, c’est la COY 11. Donc l’objectif de cette rencontre est de rassembler la jeunesse pour réfléchir sur la place actuelle des jeunes dans les documents politique et stratégique en ce qui concerne la gouvernance de l’eau, la sécurité alimentaire et les changements climatiques.

L’idée en fait est que pour les nouveaux accords qui seront signés, il faut que l’avis des jeunes soit pris en compte », a déclaré Ahiafor Flamay, président Afrique du parlement mondial de la jeunesse pour l’eau.

Pour le représentant de l’Ambassade de France au Togo, Gilles Petit De La Villeon, cette initiative est salutaire d’autant plus qu’elle a pour volonté de faire remonter l’utilisation des problématiques du développement durable. « Le Togo est un petit pays sur un grand continent et nous attendons qu’il rédige sa contribution et fasse des propositions pour s’accaparer des engagements pour en faire connaître des conditions propres au Togo et dans un environnement mondial », a-t-il indiqué.

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