D’atakpamé à Tsévié, passant par Atakpamé et Ahépé, le sud-Togo vibre au rythme de fêtes traditionnelles depuis quelques jours. Les populations des localités respectives se mobilisent autour de ces occasions qui leurs permettent de se retrouver pour non seulement se réjouir, mais réfléchir au développement.
Tout comme Evala, ces fêtes traditionnelles revêtent d’une importance capitale qui permet aux différentes communautés de se rapprocher de leurs sources et aussi permettre aux générations jeunes de se mettre au pas de la tradition et de la culture, richesse laissée par les ancêtres.
Malheureusement, contrairement à l’importance qu’accorde Faure Gnassingbé à Evala, le président de la République a brillé par son absence à ces différentes fêtes traditionnelles. Un comportement qui indigne plus d’un et qui confirme combien celui-ci surfe des considérations ethniques. La prise en otage de l’administration publique au profit des populations de la Kozah en est la preuve. L’on se dit alors que c’est peut-être une manière pour Faure Gnassingbé de
manifester son vomissement par le sud du pays, vomissement encore manifesté dans les urnes lors de la dernière élection présidentielle.
Certains observateurs estiment que ce comportement prouve que Faure Gnassingbé usurpe le titre de président de la République car disent-ils, élu par une minorité. Ce qui est vrai surtout que l’élection a été des plus frauduleuses que le Togo ait connu depuis son indépendance.... suite de l'article sur Autre presse