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Les petites entreprises à la traîne selon les prévisions macroéconomiques
Publié le samedi 29 aout 2015  |  Togo breaking news


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Le niveau global d’activité économique des entreprises togolaises a connu une progression depuis le premier trimestre 2014 jusqu’au dernier trimestre. C’est ce que révèlent les résultats de la seconde enquête des prévisions macro-économique. Le taux de croissance annuelle de la production est estimé à 12,9%.

L’enquête a concerné un échantillon de 200 entreprises dans une base de données constituées de 434 entreprises. 140 entreprises ont pu répondre aux questionnaires de l’enquête. Les préoccupations prises en compte sont la situation financière, le milieu d’activité, la tendance du niveau de production et les chiffres d’affaires.

Au finish, les résultats de l’enquête indiquent que les petites entreprises ont plus de difficultés à réaliser leurs activités que les grandes entreprises.

« Les entreprises du Togo sont plutôt optimistes sur l’avenir du pays et c’est ce qui est à apprécier. Au 3e trimestre 2014, on était en phase de pré élection mais les entreprises se sont prononcées très favorablement non seulement sur 2014 mais aussi sur l’orientation de leurs activités. Nous avons eu un taux de croissance de plus de 12% de la production», a déclaré Anumu Ketoglo, le Directeur des prévisions au Ministère de l’économie, des finances et de la planification du développement.

Le taux de croissance des activités de production s’est traduit par un taux de croissance de 10% de la valeur ajoutée. Toutefois, l’étude a relevé que la plupart des petites entreprises peinent à retrouver une production stable. Ceci est dû à plusieurs contraintes dont le manque des demandes pour augmenter la production, le difficile accès aux financements.

«Il est évident que le financement bancaire est encore beaucoup trop faible et constitue un frein sérieux au développement des entreprises privées.», a indiqué Gnaro Badawasso, le secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances.

La mauvaise nouvelle de l’étude est que les chefs d’entreprises prévoient une baisse de la production de l’ordre de 3,5% pour s’établir à 6,6%.
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