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Nouvelle remise de 17 visas, permis de travail et d’étude à des candidats à l’immigration/Canada Experts Pro confirme son éthique et sa crédibilité
Publié le dimanche 6 septembre 2015  |  Telegramme 228




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Il n’y a pas autre moyen pour des entreprises qui font dans le concret d’accepter le droit d’un regard externe sur ce qu’ils font et surtout quand ce regard est celui des médias.

C’est donc fidèle à cette dynamique qu’il a instaurée depuis l’année dernière que le Cabinet Canada Experts pro, installé au Togo depuis quelques années, a une nouvelle fois remis, hier vendredi, sous les objectifs des caméras et des photojournalistes et enfin sous le regard des journalistes, des visas, permis de travail et d’étude à 17 candidats à l’immigration vers le Canada, pays de l’Amérique du Nord, pour rehausser le niveau de leurs compétences. Ce fut au cours d’une cérémonie qui a eu lieu au siège de sa représentation au quartier Nyékonakpoè à Lomé.


Pour cet évènement grandeur nature que la société répète après celui du 18 septembre 2014, c’est le Directeur général de Canada Experts Pro, Edmond Sadonou, qui a présidé la cérémonie. Occasion pour lui de donner d’utiles conseils à ces jeunes Togolais et aussi apporter un peu plus d‘informations aux Togolais, potentiels candidats à un déplacement vers cette destination qu’il maitrise comme la pomme de sa main. De ses explications, il ressort que le processus d’obtention des visas varie d’un dossier à un autre. Ainsi, il y a certains qui ont obtenu leur visa seulement quatre mois après le début du processus, d’autres six mois et d’autres encore, au bout d’une année. Il s’est réjoui de la patience des différents candidats qui font confiance à son cabinet.


Il a tenu à balayer du revers de la main les critiques et d’autres accusations portées par des certains et dont certains anciens collaborateurs sont des cerveaux. Il a donc appelé les potentiels clients à éviter de tomber dans l’arnaque de ces vendeurs d’illusion dont la finalité est de les détourner de leur trajectoire et de leur compliquer la vie dans leur projet d’immigration sur le Canada.
« Le processus a été très court pour la plupart des gens. Pour certains, ça a duré six mois, parce qu’ils ont commencé, nous sommes à fin août début septembre, d’autres ont commencé carrément en février et mars. Pour certains, il y a Ebola qui les a bloqué, vu que le Canada a mis des restrictions sur Ebola. Ils avaient déposé leurs dossiers en novembre, décembre de l’année dernière. Donc le processus varie, ça peut faire six mois, ça peut faire un an, d’autres ont fait quatre mois. Donc ça dépend toujours du dossier et de l’intention de l’agent d’immigration et des raisons développées pour le convaincre ». Ce sont des explications de M. Sadonou. Il a expliqué la confiance particulière placée en lui et en son cabinet par les autorités canadiennes par le fait qu’ « il est canadien de nationalité », qu’il vit là-bas « depuis 20 ans », qu’il est « expert fiscaliste au ministère des revenus du Canada / Québec » et enfin, qu’il aide le pays à atteindre ses objectifs à savoir « l’intégration de la vie au Canada ».

Il a également distingué son cabinet des autres, de par l’éthique mais surtout le suivi permanent qui accompagne les dossiers. « J’ai les accréditations nécessaires pour faire le travail sur le terrain », a souligné Edmond Sadonou.

En tout cas, ce ne sont pas les bénéficiaires qui démentiront, vu que, c’est une joie indescriptible qui se lisait dans leur visage et dans les faits et geste au cours et au terme de cette cérémonie. « Je suis ému et je remercie Dieu, car ce n’est pas par notre force mais c’est par celle de Dieu qu’on est arrivé au bout de ce processus. Je conseille mes frères et sœurs d’approcher le cabinet de M. Sadonou car il travaille avec Dieu qui a créé le Canada. Quelque soit la situation, ils auront des résultats positifs », a confié Kossi Ekoué, un des bénéficiaires de ces visas. Il reconnait tout de même que la procédure n’a pas été facile, vus les documents qu’il a fallu fournir. Kossi Ekoué, selon ses dires, entend aller développer ses compétences pour revenir travailler pour le Togo comme le lui impose son esprit de patriote.
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